Correction de la myopie, de l’hypermétropie et de l’astigmatisme avec le laser
FEMTOSECOND LASIK ET PRK

Portez-vous des lunettes de vue ou des lentilles de contact ? Etes-vous dépendants de ceux-ci et vous ne voulez plus en porter ? N’avez-vous jamais pensé votre vie sans lunettes ? Maintenant vous avez cette chance ! [plus d’informations]

La croissance exceptionnelle de la biomédecine nous permet actuellement de corriger la myopie, l’hypermétropie et l’astigmatisme à travers du laser et ainsi de s’en sortir de nos lunettes de vue et des lentilles de contact. Les résultats sont splendides. L’opération se réalise vite, sans douleur et le patient part de la salle opératoire au bout d’un certain de temps sans pansements.

Quels sont les anomalies de la réfraction ?

En disant le terme « des anomalies de la réfraction » ou « des amétropies » on entend la myopie, l’astigmatisme et la presbytie.

La myopie se présente soit parce que la surface antérieure de l’œil (la cornée) est très incurvée, soit parce que la taille de l’œil est très grande, soit tous les deux cas mentionnés ci-dessus. L’image se forme devant la rétine (fond) de l’œil. La vue est floue tant pour loin.

En hypermétropie, l’œil est en général plus petit. L’image se forme derrière la rétine (fond) de l’œil. La vue est floue tant pour loin que pour de près.

En astigmatisme, la convection de la cornée n’est pas lisse et ainsi l’image apparaît floue.

La presbytie est considérée comme une procédure oculaire normale, qui se produit après 40 ans et elle est due à l’élimination progressive de l’ajustement de près. Par conséquent, la vue de près n’est pas très bonne et pour cela on a besoin des lunettes correctrices.

Comment on fait face les anomalies réfractives ?

La manière classique de traiter les anomalies de réfraction c’est les lunettes de vue et les lentilles de contact. Pour de nombreuses raisons, beaucoup de gens ne veulent pas en porter, soit pour des raisons de fatigue, soit pour des raisons esthétiques ou professionnelles, soit parce qu’ils ne peuvent pas tolérer les lentilles de contact (désanexie, allérgie, conj. gigantopapilaire). Pour ces personnes, il y a une indication pour la correction du laser. La chirurgie réfractive comprend toutes les techniques qui nous permettent de corriger certaines transformations. Elle se réalise par des ophtalmologues spécialisés dans ce domaine. Elle correspond à une opération plastique esthétique du moment où on change la cornée et souvent cela se passe pour des raisons esthétiques. Le laser possède une partie vaste de l’ophtalmologie et de la chirurgie réfractive. Non seulement on possède une expérience de trent ans mais aussi l’évolution de la technologie laser nous permet actuellement de meilleurs résultats opérationnels et prévisibles.

Qui peut subir cette opération ?

En théorie classique, l’individu ayant une anomalie réfractive, pourrait subir une opération de correction au biais du laser à condition que son ophtalmologue le conseille et qu’il y ait les conditions nécessaires.

On pourrait aussi dire que de plus on pourrait opérer :

  • Ceux qui pour quelconque raison ne veulent pas ou ils ne peuvent pas porter des lunettes de vue (des pilotes, des athlètes, des pompiers, des agents de police, …) ou ceux qui ont des problèmes avec leurs lentilles de contact
  • Ceux qui ont déjà 18 ans et leur réfraction reste stable la dernière année
  • En bref, ceux qui s’intéressent à leur apparence physique et ceux qui veulent avoir une bonne qualité de vue sans la dépendance des lunettes de vue ou des lentilles de contact

Comment réalise-t-on la correction réfractive avec du laser?

Le style de laser qu’on utilise pour ces cas (excimer laser) agit de telle manière que l’anomalie puisse être disparue ou diminuée. La technique utilisée surtout actuellement dans tout le monde c’est celle de la kératomileusis endostromale avec du laser (Lasik) qui est une combinaison de la microchirurgie avec du laser Lasik est conseillé pour des myopes de -1.00 jusqu’à -10.00D et selon les indications.

L’hypermétropie et l’astigmatisme ont plus de restrictions (jusqu’à 6 degrés). Cependant, on peut les utiliser pour diminuer une anomalie plus grande.

Le chirurgien crée à l’aide d’un microkératome, une falaise (flap) à la cornée comme un couvercle et le ramène vers le bas. Au cours des dernières années, la falaise a été créée à l’aide d’un autre laser, le Femtosecond laser et cette technique est appelée Femtosecond Lasik.

Puis, le second laser, le laser excimer, va sur la couche de la cornée en chisselant sa surface sans qu’il la traumatise.

On ferme la falaise et l’opération termine. L’opération se réalise avec des gouttes et elle est totalement sans douleur. La mise en œuvre dure moins qu’une minute tandis que la procédure totale ne dure que 5 à 10 minutes.

On n’a pas besoin de lentille protectrice ni de points de suture. Il n’y a pas de douleur ou d’inconfort après l’opération. De cette manière, on réussit la restitution directe de la vue (juste quelques heures plus tard). On diminue la possibilité d’une opacité de la cornée (haze)  après l’opération. Le patient part de la salle opératoire sans pansements et sans le besoin de ses lunettes.

Résultats

Avec le laser, les résultats sont très impressionnants et le but c’est de s’en sortir de ses lunettes de vue ou de ses lentilles de contact. Pour que cette opération soit réussie, on doit arriver à un +/- 0.50 degrés et cela on pourrait l’atteindre à 99%.

La technologie a tellement accru qu’aujourd’hui on considère cette opération totalement réussie, fiable et très sécurisée. La technologie nous permet de connaître avant l’opération si on est de candidats convenables pour la chirurgie et on peut continuer avec l’opération en sécurité.

On ne peut pas tous opérer à cette correction puisqu’il y a des contre-indications et cela on peut le connaître avant l’opération et de tenir au courant notre patient pour le résultat possible.

Examens préopératoires-Technologie

Avant la correction du laser, on devrait réaliser quelques examens préopératoires et des mesures.

Ceux-ci ont une grande importance puisque le résultat dépend directement de la cohérence et de la précision avec lesquelles on effectue ces mesures. Il est important de savoir que pour obtenir des résultats précis, on ne devrait pas porter des lentilles de contact au moins dix jours avent les essais de l’opération.

Il est, donc, nécessaire de mesurer avec une grande précision la myopie ou l’hypermétropie ou l’astigmatisme sans gouttes au début mais avec des gouttes à la suite qui ouvrent la pupille.

On devrait effectuer une topographie cornéenne (OBSCRAN, PENTACAM), fait qui nous permet d’évaluer et de mesurer la surface de la cornée, d’exclure les maladies ayant des contre-indications à l’opération.

La pachymétrie c’est une parmi les mesures les plus importants de laquelle dépend la limite qu’on peut ciseler avec le laser. S’il n’y a pas assez de tissu, l’opération ne peut pas être effectuée.

Le laser utilisé par l’ophtalmologue est celle de dernière génération, soit l’Alcon Wavelight Laser Suite.

Des techniques alternatives de réfraction au laser.

Une opération de correction de myopie c’est la technique PRK (kératoktomie réfractive ou kératoktomie photoréfractive). Chez  PRK on ne crée aucune falaise mais on retire simplement l’épithélium de la cornée et on met en application directement le laser. Une variante de technique c’est le trans PRK où on ne retire pas l’épithélium.

A la fin de l’opération de l’opération, on pratique une lentille de contact thérapeutique jusqu’à ce que l’épithélium soit guéri. Cette technique peut être pratiquée lorsque l’épaisseur de la cornée ne nous permet pas de réaliser le Lasik.

Qu’est-ce qui se passe avec les gros anomalies réfractives ?

Aux gros hypermétries de plus de 4 à 5 degrés, notre expérience de plus de 15 ans a montré qu’on a de meilleurs résultats en ayant recours aux opérations conventionnelles avec du laser.

Cela se passe parce que l’éclaircie cornéenne dépose dans de myopies et d’hypermétropies trop grandes que la sécurité de l’œil est compromise.

Il est mieux que les immunosuppressions très élevés soient traitées par la chirurgie permettant l’injection de lentilles intraoculaires stables, (des lentilles pénétrant dans l’œil). Il existe des lentilles de contact intraoculaires spécifiques qu’on les place soit derrière l’iris (ICL) soit devant l’iris (ARTISAN). L’avantage de cette méthode c’est qu’elle est réversible. Soit, la lentille peut être retirée en cas de raison, fait qui n’est pas réussi avec l’opération au biais d’un laser. Pour de meilleurs et plus prévisibles résultats, ces techniques se combinent avec du laser (bioptics) qui se réalise peu après l’application des implants, ainsi on réussit une acuité visuelle finale. Le laser est fait pour obtenir des résultats équitables en corrigeant le reste de l’immunité qui peut être après l’insertion de l’implant.

Au cas où il y aurait déjà quelques opacités de la lentille naturelle de l’œil et où il y aurait une myopie élevée et un âge avancé, une opération alternative, c’est l’extraction claire du cristallin (clear lens extraction), c’est-à-dire, l’enlèvement de la lentille oculaire d’une manière similaire à celle qui a été enlevée pour la cataracte et l’injection de l’implant correcteur. L’extraction claire du cristallin se réfère à des gens d’âge plus avancé ayant une myopie élevée et en même temps ils sont éliminés tôt d’un éventuel enlèvement futur du cataracte.

Dans un astigmatisme élevé, on peut avoir des kératotomies astigmatiques, soit de moindre diamètre et de section opposée dans la cornée pour modifier sa courbure anormale. Dans de cas pathologiques, comme le kératocône, pendant lequel on rencontre un astigmatisme élevé, il y a l’indication de transplantation (greffe) de la cornée.

Des complications

Les opérations de chirurgie réfractive c’est une parmi les opérations les plus sécurisées que l’organisme humain subit. Toutefois, chaque opération cache des risques possibles (et pas rares) pour lesquels on doit être tenu au courant.

Des complications réfractives

Lasik peut entraîner une hypercorrection ou une hypo-correction en raison de la variabilité entre les patients quant non seulement au mode de guérison  mais aussi d’autres paramètres chirurgicaux tout en laissant les patients avec de la myopie, de l’hypermétropie ou de l’astigmatisme. Il peut s’avérer nécessaire que le patient (ou peut-être pas) porte du crystal, des lentilles ou qu’il subisse une chirurgie supplémentaire.

Prévalence de l’hypercorrection : 1 sur 100

Prévalence de l’hypo-correction : cela varie selon la prescription que le patient avait par exemple 4 sur 100 pour des myopes avec 4D, 8 sur 100 pour des myopes avec 8D.

Régression

Il se réfère à la tendance de l’œil à régresser partiellement au degré initial de votre problème réfractif après la correction laser. Dans la plupart de cas, le recul est faible et on le tient en compte lors de la planification de l’opération. Quelquefois, tout ce qui est nécessaire pour les patients ayant des problèmes avec la rechute, ce sont des lunettes quand ils conduisent la nuit.

Perte de la meilleure vision corrigée

Un petit nombre des patients subissent une légère perte d’acuité après la correction au biais d’un laser. Cela signifie qu’après l’opération même avec des lunettes de vue ou des lentilles de contact vous ne pourrez pas voir aussi clairement qu’avant l’opération. Dans la plupart de cas l’acidité revient dans une période de six à douze mois
Prévalence : 1 sur 100

Des réflexions nocturnes

Avant même de subir la correction avec du laser, de nombreuses personnes ont une vue nocturne limitée ou des reflets nocturnes (des halo, des explosions d’étoile et des lentilles de contact)
Les reflets nocturnes sont réguliers après l’opération et la plupart de fois cela dure de 2 à 4 mois. Du moment où les deux yeux sont guéris ou 6 mois après l’opération les reflets nocturnes tentent d’être diminués et la vue doit rentrer à son état initial. Cependant, éventuellement vous auriez besoin de vos lunettes pendant la conduite nocturne.
Prévalence des reflets nocturnes sérieux : 1 sur 50

Opacité postopératoire de l’œil (Haze)

L’arbuste épicé c’est la protéine de collagène qui se développe à la surface de l’œil après l’opération, principalement avec PRK. Il n’est pas visible à l’œil nu. Bien qu’il puisse être guéri dans la plupart des cas, il se nettoie généralement peu à peu plusieurs mois après l’opération.
Prévalence des cas graves : 1 sur 100

Infection

C’est peut-être l’infection la plus grave. C’est probablement le risque le plus élevé dans les 48 à 72 premières heures après l’opération. Vous recevrez des gouttes antibiotiques avant et après l’opération pour prévenir une infection possible. La plupart des infections mineurs sont traitées et éliminées rapidement. Plus rarement il y a des infections cornéennes qui peuvent affecter sérieusement l’œil et par conséquent notre vision.
Prévalence d’une infection grave : 1 sur 10000

Croissance endoépithéliale (epithelial ingrowth)

Il est produit lorsque les cellules de surface épithéliale augmentent sous la crème spécifique à la cornée pendant la cicatrisation cornéenne. Habituellement il survient au cours du premier mois et il est probable chez un patient avec une couche de protection adhésive pour laquelle l’âge est un paramètre. La croissance intraépithéliale est plus fréquente en cas de blessure ou de rupture épithéliale. L’état est le plus commun avec les procédures LASIK  et les utilisateurs de contact à long terme. Bien que la plupart des petites zones de développement épithélial ne nécessitent pas de contrôles, les grandes zones ne nécessitent  que des contrôles, les grandes zones nécessitent l’élévation du sérum et le nettoyage des cellules. Les grandes zones nécessitent l’élévation du sérum et le nettoyage des cellules.
Prévalence : 1 sur 100

des complications cornéennes

Les principaux avantages de la méthode Lasik sont liés à la création de la cornée protectrice. La cornée doit être cliniquement adéquate en quantité, épaisseur, taille afin de pouvoir continuer la thérapie avec du laser. L’éventail des risques de complications de la cornée varie selon les situations nécessitant un report de l’opération de 3 à 6 mois à des cas où des anomalies de la cornée permanentes entraînant une vision floue.

Les complications de la cornée survenues après l’opération avec du Lasik pendant la période de récupération comprennent le déplacement, les plis de la falaise et la croissance épithéliale. Femtosecond Laser a accru la sécurité et réduit considérablement les complications et les variations de la falaise.

Regardez le monde avec une nouvelle vision ! il vaut mieux essayer !

Le but de l’ophtalmologue ce n’est pas de présenter en tant que possible plus d’opérations mais d’informer les patients futurs et de les conseiller si il s’agit des personnes convenables tout en incluant l’information sur le résultat attendu et les dangers existants.

Il est aussi important de reconnaître votre individualité. Chaque individu possède une place différente à sa crise pendant la procédure d’évaluation pour la correction avec du laser. Vous devez respecter les restrictions de la chirurgie réfractive. Ce ne sont pas tous des candidats convenables pour l’opération et certains hésitent à accepter ce fait. Il est plus important de savoir qui n’est  pas la personne convenable à l’opération. La maîtrise de vos attentes et de vos perceptions c’est la clé du succès de la chirurgie réfractive. Le fait d’être satisfait ou pas dépend de la mesure dans laquelle vos objectifs ont été atteints.

Quant au coût, cela dépend du centre opératoire et du chirurgien. Le coût ce n’est pas interdit aujourd’hui. On pourrait voir cette opération comme un investissement pour toute la vie puisque le résultat ne se transforme pas au cours des années. Pensez combien d’argent vous dépensez pour vos lentilles de contact et pour leurs liquides chaque année ou combien coûte un paire des lunettes de vue que vous devriez changer de temps en temps leurs verres parce qu’ils se dégradent ou parce que votre squelette n’est pas à la mode ?

Néanmoins, avant de faire quelconque mouvement, on doit rendre visite le chirurgien ophtalmologue et surtout celui qui a une expérience de ce type des interventions.